-- REVUE DE PRESSE ---
"Que sont devenus, quarante ans plus tard, victimes et bourreaux ? Anne Théron met en scène cette nuit de confrontation entre deux êtres qui portent en eux tous les non-dits d’un pan d’histoire – Histoire et histoire intime familiale et fraternelle d’une enfance partagée – amour et haine mêlés.
La scénographie de Barbara Kraft offre au spectateur la contemplation d’un espace paradoxalement sombre et solaire – chambre noire de mélancolie rehaussée de désir et de vie.
A l’étage, la belle frondaison verdoyante d’un arbre vif et majestueux sous les lumières de Benoît Théron, dans l’espace du jardin attenant à la maison-bunker du frère et que l’on rejoint en empruntant un escalier à jardin aux larges marches lumineuses en rappel des habitats du Sud.
Le bas du tronc de l’arbre apparaît – jeu ludique – au lointain, sur le niveau zéro de la geôle."
CRITIQUES DE THÉÂTRE PAR VÉRONIQUE HOTTE